Didier Raoult, le directeur de l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Mediterranee Infection de Marseille (Bouches-du-Rhone), a explique avoir mene un essai clinique durant lequel il avait traite 25 personnes contaminees par le coronavirus avec de la chloroquine. Apres six jours, il n'y avait plus que 25 % des patients ayant pris ce medicament qui avait toujours le virus dans le corps, soutient ce specialiste. En revanche, 90 % de ceux qui n'avaient pas pris de chloroquine continuaient a etre porteurs du Covid-19.
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Sauf que "Les Décodeurs", média de fact-checking du Monde, ont signalé cette vidéo comme étant "partiellement fausse", conduisant Facebook (qui officie en accord avec "Les Décodeurs") à accoler un bandeau "Information partiellement fausse" sur la vidéo de Didier Raoult. Après six jours, il n'y avait plus que 25 % des patients ayant pris ce médicament qui avait toujours le virus dans le corps, soutient ce spécialiste. Dans la mesure où on est en situation d’urgence avec énormément de patients qui arrivent en hospitalisation, dont 15 a 20 % présentant des formes graves, et que nous ne disposons pas de traitements antiviraux spécifiques, c’est notre devoir d’étudier toutes les pistes, et ce dès maintenant", explique-t-elle, ajoutant : "Des études sont en cours, avec cette molécule de chloroquine. La chloroquine est un médicament qu'on ressort des tiroirs systématiquement ou presque lorsqu'un nouveau virus fait son apparition. Six malades du groupe hydroxychloroquine ont aussi reçu en association un antibiotique, l'azithromycine. Concernant les bémols émis quant à la méthodologie de ses récents essais cliniques : "C'est contre-intuitif, mais plus l'échantillon d'un test clinique est faible, plus ses résultats sont significatifs. Les différences dans un échantillon de vingt personnes peuvent être plus significatives que dans un échantillon de 10.000 personnes. Si on a besoin d'un tel échantillonnage, il y a des risques qu'on se trompe. Avec 10.000 personnes, quand les différences sont faibles, parfois, elles n'existent pas." Il poursuit : "Je prescris la chloroquine depuis vingt-cinq ans et je publie à ce sujet dans des revues depuis treize ans. Je suis un chercheur international, j’essaye d’être indifférent au fait que mes coreligionnaires ne me croient pas, ou à ce qu’on raconte sur les plateaux télé." Il tient à nous en dire davantage sur l'avancée des recherches contre le coronavirus : "Je peux vous dire qu'on a tout testé, il reste quelques chances de réussites avec le Remdésivir, sinon c'est la chloroquine qu'il faudra, et qu'il faut déjà utiliser. Il n'y a plus d'autres options." Bien évidemment ces premières données, si prometteuses soient-elles, doivent être confirmées par des études de plus grande ampleur, mais elles sont suffisamment inédites pour être rapportées et commentées. Quant à la corrélation avec un effet clinique favorable, "elle n'est pour l'instant pas faite du tout". Il est le premier à présenter des essais qui semblent concluants sur des patients humains. Aucun risque majeur n'est à déplorer, simplement un principe de précaution général : pour certains patients il faudrait passer un électrocardiogramme avant d'y recourir. Quant aux accusations de "fake news" ?
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